Mais le port du masque et le lavage fréquent des mains doivent se faire en même temps, les deux sont indispensables.
Tout d'abord, la mention « masque chirurgical médical » doit être inscrite à l'extérieur de l'emballage.
Une épidémie soudaine a rendu les masques indispensables, et la qualité des masques est également devenue un sujet brûlant de préoccupation du public. De quels tests un masque qualifié a-t-il besoin ?
À l’heure où la vie urbaine reprend progressivement, chacun doit encore faire attention au port du masque. Tout en effectuant la gestion des groupes clés, la surveillance de la santé des employés, l'enregistrement des informations, la publicité et l'éducation, etc., comment effectuer le travail de bureau quotidien, les tâches sortantes et la protection des achats dans la rue ?
Les élèves des écoles primaires et intermédiaires de la plupart des régions du Canada ont commencé à aller à l'école. C'est la première fois que des étudiants arrivent sur le campus depuis que l'épidémie de pneumonie fait rage depuis six mois. Cependant, les étudiants et les enseignants sont revenus masqués. Quel type de masque porter, comment porter un masque et combien de temps un masque peut durer sont devenus les préoccupations des parents d'élèves ayant des enfants mineurs.
Alors que la nouvelle épidémie de pneumonie coronarienne continue de se propager, les masques sont devenus une nécessité de santé publique obligatoire dans de nombreuses régions du monde. En raison de la diminution de l'offre de masques chirurgicaux médicaux et de masques N95 (ils sont correctement transférés vers les établissements de soins médicaux), le grand public est souvent invité à se couvrir la bouche et le nez avec tout ce qui peut être utilisé lorsqu'il sort dans des lieux publics. Idéalement, les masques fabriqués maison devraient comporter deux à trois couches, mais en l’absence de meilleures options, les services de santé du monde entier proposent d’utiliser des foulards, des foulards ou des cache-cou comme substituts aux masques. Certains experts étaient d’accord : « N’importe quel masque ou revêtement vaut mieux que rien ».
